90 ans et 100 ans

Odile Bossel est née le 26 février 1934 à Fiaugères dans la famille de Jean et Virginie Mesot, elle est la 5ème d’une fratrie de 6 filles et 1 garçon. A l’âge de 5 ans, elle vit la douloureuse épreuve de perdre sa maman, ses grandes sœurs ont donc endossé le rôle maternel.

Elle fait ses écoles à Fiaugères et à la fin de sa scolarité obligatoire, elle suit les cours d’école ménagère à Porsel où elle se démarque par son excellence.

Pour compléter les revenus de la famille, elle travaille comme vendeuse à Lausanne et sommelière à Bossonnens.

Le 12 novembre 1956, Odile unit sa destinée à Henri en la Chapelle de Bourguillon. De cette union naquirent 4 enfants qui ont égayé son foyer: Gérald, Jean-Noël, Claudy et Myriam. La famille s’est ensuite agrandie de 7 petits-enfants et 7 arrière-petits-enfants.

Notre nonagénaire est plutôt discrète et s’est toujours beaucoup investie pour le bonheur de son mari et de ses enfants. Elle a toujours eu à cœur de parfaitement tenir son ménage et faire de son foyer un endroit où il fait bon vivre. Elle a également secondé son mari dans les travaux de la ferme mais trouvait toujours du temps pour la couture et le crochet.

Depuis sa retraite avec son mari, elle a profité de jolies petites vacances à Montana ou à Anzère et d’excursions d’une journée en car pour découvrir le pays.

Madame Bossel a également toujours un énorme plaisir à entretenir son magnifique jardin qui fait bien des envieux : des morceaux tirés au cordeau, aucune mauvaise herbe et agrémenté de jolies fleurs.

Mais son plus grand bonheur reste la visite de ses petits-enfants et arrière-petits-enfants et les fêtes de famille qui réunissent tout le monde.

C’est avec grand plaisir qu’une petite partie du Conseil communal et de la Paroisse sont venus le vendredi 23 février féliciter Odile Bossel et lui souhaiter un très bon anniversaire pour le cap de ses 90 ans.

Nous nous joignons à sa famille pour lui adresser nos vœux chaleureux et lui souhaiter que sa santé lui permette de vivre encore de longues et heureuses années, aux côtés de son cher mari et entourée des siens.


Madame Juliette Boverat, a vu le jour le 23 août 1933 à Gillarens où elle a grandi avec son frère et sa sœur dans une grande ferme familiale, habitée par plusieurs générations.

Elle a suivi son école primaire dans une classe de filles à Chapelle (Glâne) avec des enseignantes religieuses sévères. A l’époque, il ne fallait pas lorgner les garçons, ni mettre de pantalons…

Madame Boverat a ensuite fait son école ménagère dans un orphelinat, Le Don Bosco, situé à deux pas de chez ses parents. Cet établissement était également tenu par des religieuses et 40 enfants placés y vivaient jusqu’à l’âge de 15 ans.

Après l’école ménagère, elle a secondé ses parents pour les travaux de la ferme. Le grand air, la nature et les animaux l’ont toujours attirée. L’hiver vous elle allait livrer le pain pour le boulanger du village 4 fois par semaine. La livraison s’effectuait avec un cheval.

En avril 1958, Juliette unit sa destinée à Guy Boverat. Par la suite, la famille s’agrandit avec 2 filles. Aujourd’hui notre nonagénaire a 5 petits-enfants et 6 arrières-petits-enfants. Elle a secondé son mari sur le domaine et ils allaient chercher l’herbe avec un char et un cheval, car la famille Boveerat n’a jamais eu de tracteur. Les enfants du voisinage attendaient ce moment avec impatience et bien souvent il y avait plus d’enfants sur le char que d’herbe ! A tour de rôle, chacun pouvait aller sur le dos du cheval. Le conseiller communal Lionel Bussard devrait s’en souvenir !

Juliette Boverat coulait une belle retraite avec son époux, mais malheureusement en 2020, suite au Covid, il a été contraint de rejoindre la Maison St-Joseph. Une séparation n’est jamais facile mais elle va souvent le trouver et elle puise sa force dans le nature où elle se ressource.

Madame Boverat aime beaucoup aller marcher et la beauté de la nature l’émerveille toujours, tout comme la tranquillité de son petit village. Elle s’évade également dans la lecture et trouve d’ailleurs formidable les boîtes à livres.

C’est avec un grand plaisir qu’une partie du Conseil communal est venu le mercredi 23 août 2023 la féliciter et lui souhaiter un très bon anniversaire pour ce cap de ses 90 ans. Le Conseil communal de Saint-Martin tient à féliciter Madame Juliette Boverat pour son parcours de vie et se joint à la Paroisse de Saint-Martin et à sa famille pour lui adresser ses vœux chaleureux afin que sa santé lui permette de vivre encore de longues et heureuses années, entourée de toute sa famille. 


Henri Bossel est plus connu sous le nom de « Riquet ». Il est né le 14 mai 1933 à Besencens dans le foyer de Léon et Albertine née Geinoz. Deuxième enfant d’une fratrie de cinq, il est le seul garçon.

Dès son plus jeune âge, il suit le chemin tout tracé par ses parents dans l’agriculture. À 18 ans, son papa décède d’une leucémie et Henri se retrouve seul à la tête du domaine familial. Dès lors, il mettra toute son énergie à le faire fructifier, aidé par sa maman et ses sœurs.

Le 12 novembre 1956, en la Chapelle de Bourguillon, il unit sa destinée à celle de sa chère épouse Odile. De cette union, sont nés 4 enfants : Gérald, Jean-Noël, Claudy et Myriam, venus égayer la maison. La famille s’est ensuite agrandie avec 7 petits-enfants et 6 arrière-petits-enfants.

Grâce au soutien de son épouse sur le domaine familial, il s’est investi sans compter pour la vie du village. Homme intègre au contact facile, il devient tour à tour Syndic de la commune de Fiaugères, Président de la Paroisse, Président de la Caisse Raiffeisen de Saint-Martin et membre fondateur de la Fanfare paroissiale. Henri a également été actif dans la Société de tir avec à la clé de nombreuses médailles et titres. Encore aujourd’hui notre nonagénaire est actif au sein de la société des retraités de la Veveyse.

Sa passion du bois l’a amené à bûcheronner pour la commune. Passion qu’il continue d’exercer car il a à cœur d’entretenir les forêts. On peut toujours le voir partir avec une hache et une tronçonneuse à la main, préparer son bois de feu.

Après avoir partagé le domaine à ses enfants, il a profité de jolis petits voyages avec son épouse et ses ami(e)s, tels que des semaines à Montana ou Anzère, ainsi que des parties de cartes du mercredi à Porsel. Les balades dans les buvettes et les chalets d’alpage, ainsi que l’apéro du mercredi matin au Mag’Café avec les copains, à refaire le monde et se tenir au courant des nouvelles du village, font partie de ses plaisirs. Mais son plus grand bonheur est de recevoir la visite de ses petits-enfants et arrière-petits-enfants qui viennent voir « grand-père ».

C’est avec un grand plaisir qu’une partie du Conseil communal est venu le vendredi 12 mai 2023 le féliciter et lui souhaiter un très bon anniversaire pour ce cap de ses 90 ans.

Le Conseil communal de Saint-Martin tient à féliciter Monsieur Henri Bossel pour son parcours de vie et se joint à sa famille pour lui adresser ses vœux chaleureux afin que sa santé lui permette de vivre encore de longues et heureuses années, aux côtés de sa femme et entouré de toute sa famille.  


Madame Marie-Thérèse Monney est l’ainée d’une fratrie de six enfants et c’est par une belle et douce journée d’hiver, le mardi 28 février 1933 qu’elle a vu le jour.

Comme la plupart des jeunes à cette époque-là, elle a secondé ses parents dans les durs travaux de la ferme et pour les tâches ménagères, tout en suivant sa scolarité.

Cette expérience lui a été fort utile lorsque qu’à la fin de sa scolarité obligatoire, sa maman est devenue lourdement handicapée suite à un accident vasculaire. Marie-Thérèse s’est vue contrainte de renoncer à son rêve de devenir infirmière pour prendre en charge le ménage familial et s’occuper de ses frères, de sa sœur, de sa maman et grand-maman elle aussi très atteinte dans sa santé. Une bien lourde responsabilité pour une jeune fille de 16 ans !

Deux ans plus tard, fin mai 1952, alors que les reposoirs étaient en train d’être installés pour les rogations de la paroisse, son regard a croisé celui d’Henri Monney qui habitait également Fiaugères.

Après 4 ans de fréquentation, leur mariage a été célébré le lundi 16 avril 1956 à la chapelle des Marches. De cette union sont nés 2 filles et 1 garçon. 7 petits-enfants et 3 arrières petits-enfants sont ensuite venus agrandir la famille.

Durant les 40 ans de vie commune, le couple a rénové et agrandi la ferme et exploité avec passion le domaine qu’ils avaient acquis au début de leur mariage. Mais en décembre 1996, une courte et foudroyante maladie a emporté le cher époux de Marie-Thérèse avec qui elle se réjouissait de partager encore de belles années d’une retraite bien méritée.

Grâce à son caractère fort et à sa volonté inébranlable, elle a petit à petit repris goût à la vie grâce notamment aux petits plaisirs qu’elle affectionne particulièrement comme les lotos, la gym du 3e âge, la lecture et les mots fléchés ainsi que les bonnes tables, les petits voyages Buchard entre copines ou les escapades de quelques jours avec ses enfants.

En plus des travaux quotidiens de la ferme auxquels notre nonagénaire a volontiers et largement participé, Marie-Thérèse a toujours beaucoup aimé s’occuper de sa maison, des fleurs et du jardin où elle aime passer du temps et dont elle est très fière. 

Marie-Thérèse a toujours excellé en cuisine et se souvenir de son filet mignon aux morilles, de ses gâteaux aux fruits, de ses fameux biscuits et sa bûche de Noël met l’eau à la bouche de celles et ceux qui ont eu le privilège de les savourer.

Depuis quelques années, souffrant d’une maladie de la vue, elle a malheureusement dû diminuer voire même, dans certains cas, renoncer à de nombreuses activités qui lui étaient chères, ce qui l’attriste beaucoup.

La porte de Marie-Thérèse Monney a toujours été et est à ce jour encore grande ouverte pour ses proches, ses amis et voisins avec qui elle partage avec plaisir un petit café et quelques biscuits. Qui n’est pas allé boire le café chez Marie-Thérèse ? Certainement bien peu de monde dans la région.

Très heureux de pouvoir la fêter, c’est avec grand plaisir qu’une partie du Conseil communal est venu la
féliciter et lui souhaiter un très bon anniversaire pour ce cap des 90 ans, le mardi 28 février 2023.

Le Conseil communal de Saint-Martin tient à féliciter Madame Monney pour ce beau parcours de vie et se joint à sa famille pour lui adresser ses vœux chaleureux afin que sa santé lui permette de vivre encore de longues et heureuses années, dans son petit logement douillet, entourée et choyée par ses proches.


Joseph Jaccoud est né le 26 janvier 1933 dans le foyer de Louis et Emma Jaccoud, née Favre à Fiaugères.

Il est le 6e enfant d’une fratrie de 11 frères et sœurs.

Après avoir suivi ses écoles dans son village natal de Fiaugères, il travaille sur l’exploitation familiale avec ses frères et c’est en 1974 qu’il reprend le domaine de Pra des Perret.

Il se marie avec Thérèse en 1960 et de cette union naissent 3 enfants, Françoise, Sylviane et Jean-Claude.

Aujourd’hui il est l’heureux grand-papa de 8 petits-enfants et 4 arrières petits-enfants et ses rayons de soleil lui donnent beaucoup de joie à chaque fois qu’ils viennent lui rendre visite.

Joseph remit le domaine à son fils Jean-Claude en 1998. Depuis il continue de travailler sur l’exploitation avec plaisir et passion.

Les vacances n’étaient pas à l’ordre du jour, mais notre nonagénaire a eu le plaisir d’effectuer quelques voyages avec les contemporains à Lisbonne, en Hollande, à Prague, à Londres et en Autriche, ainsi que quelques belles randonnées en montagne.

Monsieur Jaccoud a également donné de son temps pour son village en faisant partie du Conseil communal durant plusieurs législatures.

Joseph est un passionné de loto et de jeux de société, passion qu’il a transmise à ses enfants.

Ces dernières années, il se réjouit de voir arriver le printemps pour cultiver son jardin et s’occuper de ses fleurs en compagnie de sa chère épouse.

C’est avec grand plaisir que le Conseil communal de Saint-Martin, ainsi que la Paroisse sont venus le 27 janvier 2023 le féliciter et lui souhaiter un très bon anniversaire pour le cap de ses 90 ans.

Nous lui souhaitons de pouvoir profiter encore de nombreuses années à passer des jours  tranquilles dans sa maison de Fiaugères, entouré de sa famille.


Monsieur Laurent Meyer a rencontré le Conseil communal de Saint-Martin le 13 janvier 2023 à l’occasion de son 90e anniversaire.

M. Meyer est né le 11 janvier 1933 à Niederurnen dans le canton de Glaris. Sa maman était zurichoise, son papa fribourgeois et il est le deuxième d’une famille de 4 enfants.

C’est 3 ans plus tard, en 1936 que son papa a été muté à Renens dans le canton de Vaud. C’est donc dans cette ville qu’il a effectué son parcours scolaire.

Il connait un peu la campagne puisque pendant ses vacances scolaires, avec son frère il a eu la chance d’être initiés aux travaux de la ferme chez un agriculteur du pied du Jura.

A 17 ans, il a entrepris un apprentissage de mécanicien électricien aux ateliers CFF à Yverdon et c’est également à Yverdon qu’il a fait son école de recrue.

Dans le but de parfaire son allemand, il est parti à Zürich pendant 3 ans. De retour en Suisse romande, c’est le 14 juin 1958 que Laurent s’est marié avec sa chère épouse Andrée. De cette union, ils ont eu deux fils, Philippe né le 22 mars 1959 et Olivier le 13 septembre 1960.

Féru d’informatique, c’est en 1960 que notre nonagénaire a été engagé chez un constructeur d’ordinateurs qui avait son siège à Paris. C’est alors que commence une série de stages de formations à Paris. D’abord 6 mois puis plusieurs semaines de perfectionnements tout au long de sa carrière pour suivre l’évolution très rapide de ce domaine.

Après 33 ans d’activités dans cette entreprise, M. Meyer a bénéficié d’une retraite anticipée à l’âge de 60 ans, ce qui lui a permis d’entreprendre des travaux à l’intérieur comme à l’extérieur de leur maison.

Pour ses loisirs, le couple Meyer a acheté un voilier et a parcouru le lac Léman de Villeneuve à Genève en passant par la côte française, bien évidemment.

Monsieur Meyer a toujours aimé la musique instrumentale de sorte qu’il a pris des leçons de trombone à coulisse dans sa jeunesse pour jouer dans une société de musique pendant plusieurs années. En arrivant à Saint-Martin et pour changer d’instrument, il a pris des leçons de saxophone ce qui lui a permis de temps en temps d’interpréter avec l’organiste de la chorale une pièce de musique de circonstance lors de certaines messes ou de services religieux, ceci avec un très grand bonheur.

En 1989, lors de leur arrivée à Saint-Martin, M. et Mme Meyer ont été sollicités par Marcel Magnin, directeur de l’époque, pour rejoindre la chorale toujours en manque d’effectif. C’est avec une grande joie qu’ils ont accepté cette invitation car ils chantaient déjà dans des églises de la région lausannoise.

Comme le dit notre nonagénaire, il y a un temps pour tout… et le couple Meyer va quitter avec regret sa maison de Saint-Martin qui n’est plus adaptée à leur âge.

C’est avec grand plaisir que le Conseil communal et le Conseil de Paroisse le félicite et lui souhaite un très bon anniversaire pour le cap de ses 90 ans.

Nous lui souhaitons de pouvoir profiter encore de nombreuses années et de passer des jours tranquilles avec son épouse et son fils Philippe.


Elisabeth Tesse, que les proches surnomment « Betty », est née le 17 septembre 1932 à Fribourg, au sein d’une fratrie de 7 enfants et passe sa scolarité également à Fribourg, dont une partie chez les Sœurs à la Gouglera.

Elle travaille ensuite comme téléphoniste aux PTT de Fribourg, jusqu’en 1959.

Le 16 juillet 1962, Elisabeth se marie avec Robert Tesse dit « Robi » de Lausanne et ils emménagent à La Tour-de-Peilz.

De cette union naîtra Philippe le 24 juin 1963 à l’hôpital de Vevey puis Frédéric le 7 novembre 1968 toujours à Vevey.

En famille ils sillonnent les pays voisins dans les joies du camping.

Le 1er octobre 1987 elle quitte La Tour-de-Peilz pour s’établir à St-Martin (FR). L’idée étant de se rapprocher de la parcelle acquise à Fiaugères, afin d’être proche de la construction à venir.

Le 1er avril 1996, notre nonagénaire emménage dans sa villa « Au Clos » devenu depuis Rte de Porsel à Fiaugères.

Elisabeth a toujours été très active dans les paroisses où elle a vécu, Vevey et St-Martin, mais également auprès de la Maison St Joseph à Châtel-St-Denis.

Catholique, pratiquante, elle a donné beaucoup de son temps à l’église. Elle a d’ailleurs fait un voyage en Terre Sainte.

Quelques années plus tard, elle parcourt le désert du Sahara où un bédouin l’a surnommée « La Gazelle du Désert ».

C’est avec beaucoup de joie qu’elle accueille sa première petite-fille, Fanny, le 20 août 2000.

Le décès prématuré et subit de Robert en montagne le 1er mai 2003 a été une épreuve qu’elle a su surmonter avec courage.

La naissance de sa deuxième petite fille le 30 décembre 2003 a un peu adouci sa peine.

La famille de Madame Tesse dit d’elle qu’elle est une grand-maman exceptionnelle et ses petites-filles ont beaucoup de plaisir à passer du temps en sa compagnie. Elles sont d’ailleurs très fières que leur grand-maman surfe sur le net, qu’elle communique avec elles par Skype lorsqu’elles sont en voyage ou en vacances à l’étranger et qu’elle discute en ligne tous les matins avec son amie Nicole de Bordeaux.

Si un seul adjectif devait décrire Madame Tesse, ce serait : curieuse ; curieuse de tout : les oiseaux, les plantes, etc.

C’est avec grand plaisir qu’une partie du Conseil communal de Saint-Martin, ainsi que la Paroisse sont venus le 16 septembre 2022 la féliciter et lui souhaiter un très bon anniversaire pour ce cap de ses 90 ans. Nous lui souhaitons de pouvoir profiter encore de nombreuses années à passer des jours tranquilles dans sa chère maison de Saint-Martin.